Une belle affiche de trois concerts proposés en collab’ avec le collectif RPT à l’Azimut 854 (MJC Haut du Lièvre, Nancy) le 23 mai 2025
HEIMAT [pop lyric déviante]
https://meineheimat.bandcamp.com
Derrière cet alias se cachent deux personnalités bien connues des sphères underground hexagonales : Olivier Demeaux, claviériste de Cheveu, également membre du projet drone-ambient Accident du Travail, et Armelle Oberle, dont on a déjà pu entendre la voix unique chez The Dreams ou Badaboum.
Depuis son premier album (2016), Heimat a surpris de nombreux auditeurs par l’originalité de ses compositions, inspirées aussi bien par la new wave et la trap-music que par les enregistrements ethnographiques d’Asie du Sud-Est. À la fois étrange et lyrique, ce disque s’est imposé comme un classique du genre.
Heimat a sorti son troisième album « Iti eta no » le 14 mars 2025 (Teenage Menopause records). Sa pochette a été réalisée par la dessinatrice Anouk Ricard, lauréate du grand prix d’Angoulême 2025.
FUNK POLICE [post p(f)unk]
https://thefunkpolice.bandcamp.com/album/stab-the-stable
Trois mecs qui échangeraient bien volontiers leurs mères pour un bout de « teuch », Funk Police avait surtout marqué les esprits en 86 lorsqu’ils firent bouffer un exta à Philippe Manoeuvre en plein milieu des Enfants du Rock pour le larciner sur Antenne 2 et terminer leurs carrières. Ils reviennent pour cotiser et se racheter une réputation.
Avec des gravats de Scorpion Violente, Noir Boy George, Dustbreeders et The Feeling of Love.
DIMANCHE ÉTERNEL [Live machine techno]
https://www.instagram.com/dimancheeternel
Mouvante, éphémère et improvisée, la musique du binôme franco-belge célèbre l’instant et l’émulation improbable d’une fête qu’on n’avait pas vu venir. Nourris et animés par l’énergie du moment, ils s’amusent à traverser les genres avec l’imprévu comme repère temporel. Une prière pour cette fenêtre de vie qu’est la possibilité d’une nuit blanche, cette seconde où samedi devient dimanche, quand les corps sont en transe, qu’on espère que ça durera toujours, que la gueule de bois, le lundi et le réel n’existent pas.